
Ma vie est un tombeau où ta rose est venue faner.
Sous le ciel des étoiles ses pétales profanés,
S’évanouissent dans un long et dernier sanglot,
Je suis ta désolation, ta souffrance : je suis ton fléau.
Des maux aux mots…
Ma vie est un tombeau où ta rose est venue faner.
Sous le ciel des étoiles ses pétales profanés,
S’évanouissent dans un long et dernier sanglot,
Je suis ta désolation, ta souffrance : je suis ton fléau.
Sans doute la première poésie significative de mon oeuvre
Ô que ce silence n’est point doux,
Il est ton amour qui s’épuise,
Ta distance qui me méprise,
C’est ce que je perçois entre nous.
Un immense vide tel un gouffre,
Et chaque matin j’en ai mal au cœur,
Chaque jour qui s’écoule j’en pleure,
Toutes les nuits j’en souffre…
Quel est cet orage qui s’élève dans le ciel obscur ?
Rien de plus que la douleur d’un amour qui à tort perdure.
Un amour qui s’étend juste au-delà du firmament,
Mais dont la réciprocité s’en est allé dans le vent…
Quel sentiment de désespoir,
Que celui de ne plus t’avoir,
Un cœur – un poignard,
Tout meurt – tout part…
… Sauf cette abominable douleur.